Je ne sais pas par où
commencer, après l’expérience bizarre que j’ai eue avec Jackie. C’est bizarre, tellement bizarre de se voire la gueule le lendemain et puis une semaine entière en faisant comme si rien ne s’était
passé, ou au moins c’est ce qu’elle a fait cette semaine
.
Ma semaine a été très légère mais la sienne, très remplie. Je ne l’ai croisée que deux fois, et on a mangé ensemble dans la chambre parce qu’on n’avait pas envie de sortir.
Le tempérament de Jackie est tellement adorable que j’ai oublié la gêne de la voir au quotidien, craignant qu’elle fasse allusion (aussi petite soit-elle) à notre expérience de l’autre jour.
Et pourtant il ne se passe pas une seule journée sans que j’y pense, surtout le soir, désirant vivement qu’elle rentre soule et insiste pour répéter l’expérience.
J’aime bien me masturber quand elle est là, la nuit. Elle dort ou fais semblant de dormir, je ne sais pas mais le fait qu’elle soit là m’excite au plus haut point.
Depuis les caresses de l’autre jour je dors toujours en petite culotte, à tout hasard, déjà prête pour avoir une partie de jambes en l’air avec cette jolie créature, décomplexée, ouverte d’esprit
et ravissante.
J’imagine qu’elle passe de son lit au mien et me prend dans ses bras, m’emprisonnant comme l’autre jour, profitant de ma timidité pour me tripoter. J’adore qu’elle soit dominante, cela me rend
folle.
En me doigtant je ferme les yeux pour l’imaginer en train de me guider avec ses mains, poussant ma tête vers le bas de son ventre, où la senteur délicieuse de son sexe m’annonce qu’elle mouille
grave. Elle serre ma tête contre son entrecuisse et m’invite à la lécher.
Je passe d’abord ma langue sur le sillon hyper sensible de sa foune, et elle frissonne, me priant de répéter cela dix fois encore. Les coups de langue la passionnent au point d’oublier que je
suis là, et que moi aussi je veux être comblée…
Elle s’abandonne à un plaisir égoïste, tenant ma tête coincée entre son entrejambe par devant et ses mains puissantes par derrière m’empêchant d’échapper.
J’exagère un peu ses traits de caractère dans mon fantasme mais je ne change rien à sa libido vraiment incontrôlable quand ça lui prend de baiser. Je n’ai jamais vue une femme aussi libre de
complexes et tellement pure.
Elle se met à poil devant moi comme si j’étais un mur, sans aucune pudeur, pour se préparer pour la douche. Ou bien essaye un sous-vêtement ultra chaud, sans même réaliser que son public, en
l’occurrence moi-même, peut être impressionné, les gens sans pudeur sont un vrai danger…
J’aimerais bien la lécher, gouter à sa mouille chaude et puis caresser son clitoris avec ma langue. Je n’ai jamais de ma vie sucé un clito, je suppose que ça doit ressembler à une petite bite à
l’heure de sucer, ou plutôt lécher si c’est vraiment petit pour l’entourer de ses lèvres.
Celui de Jackie est assez visible, plus que le mien et quand il durcit il devient violacé et dur, sa vulve rasée rougissant aussi tout autour, un spectacle très beau à voir.
Rien qu’en l’imaginant je m’excite et c’est bien ça qui me motive au moment de me toucher, rêver qu’elle est là toute nue, à coté de moi.
Je franchirais bien le pas quand elle dort, sachant que la probabilité de refus de sa part est nulle mais je n’ose pas le faire, ma timidité l’emportant sur toute autre chose.
Il ne me reste qu’attendre que son corps incroyablement chauffant vienne se placer à coté du mien sous les draps…
La situation avec Jackie est devenue insoutenable. Je ne peux pas résister à sa proximité physique sans craquer. Je ne sais pas quel gène sa présence a-t-elle fini par activer mais c’est comme
ça.
Dans un mois je vais quitter le foyer pour habiter chez ma famille d’accueil et je ne la verrais plus, c’est ce que je me suis proposée car cette fille va me faire perdre la tête.
Elle est trop mimi, trop irrésistible pour l’ignorer et toujours prête à des câlins ou à des caresses coquines! Je ne peux pas me permettre cette ambiguïté, il faut que je me décide ou les filles
ou les mecs et je n’ai jamais vraiment aimé les filles jusqu’à présent.
Quoi qu’il en soit cette histoire de fantasmes et d’expériences lesbiennes arrive trop tot pour moi, je ne sais pas quoi faire.
Hier, Jackie a fait une nouvelle incursion dans mon lit et cette fois-ci dans la vie réelle, ce n’était pas un fantasme. La différence était qu’elle n’a pas tourné autour du pot.
Elle est rentrée, est allée se doucher et puis en revenant de sa douche a commencé à plaisanter sur l’idée d’aller sous mes draps plus chauds que les siens car réchauffés par mon corps.
Connaissant Jackie ce qui aurait pu passer pour une plaisanterie normale était une déclaration directe, elle avait envie de moi.
Sans savoir comment réagir (je n’ai pas encore appris à réagir face à ce genre de propositions) j’ai attendu jusqu’à ce qu’elle se décide à faire le premier pas, comme d’habitude.
Mais cette fois-ci c’était différent car j’avais tellement fantasmé sur ça que mon corps me réclamait une attitude plus active et débrouillarde et mes mains perdaient déjà le contrôle à la
troisième ou quatrième caresse de sa part.
Jackie n’avait pas trop de fougue car sa journée avait été bien remplie comme d’habitude et je suis passée à l’action. Je voulais l’avoir derrière moi, et cela m’arrive avec les mecs aussi,
j’adore par derrière ou bien moi dessous.
J’étais allongée sur mon ventre et Jackie sur moi, comme un manteau, sans laisser tomber tout le poids de son corps sur le mien, elle allait et venait frottant son minou contre mes fesses que
j’essayais de durcir pour l’exciter.
Je n’avais plus honte de ce qu’on faisait ensemble et commençais à comprendre tout cela. Tout cela ne signifiait rien du tout, c’était du sexe pour le sexe, c’était comme ça qu’il fallait le
prendre.
À partir de cette révélation tout a changé. J’ai fait demi tour pour l’avoir face à face et qu’on puisse se frotter les sexes l’une à l’autre.
Mon pubis n’étant pas complètement épilé j’avais un pêle-mêle de poils et de mouille qui l’aidait à glisser sa vulve rasée comme un patineur sur de la glace.
Les gémissements de Jackie, visiblement excitée par ma nouvelle attitude, active et coquine, m’excitaient davantage. Toutes trempées de fluides nos sexes glissaient l’un contre l’autre et parfois
ses lèvres gonflées venaient à limer l’entrée de mon vagin m’arrachant de petits cris.
J’étais vraiment impatience de la voir jouir comme ça, sous l’effet de mes caresses, mais je ne voulais pas que ça finisse aussi vite que ça.
Après ce limage de minou qui me laissait déjà à bout de souffle, je l’ai priée de rester comme ça, à quatre pattes et me suis mise debout. Je n’ai pas eu besoin de lui dire ce qu’elle devait
faire, sa bouche cherchant instinctivement mon entrejambe…
Les cuisses écartées le plus que je pouvais, j’endurais ses coup de langue profonds, lents, calculés pour me faire frissonner, elle sait s’y mettre la cochonne, je me demande combien de chattes
a-t-elle léchées de la sorte, suçant les clitos comme un bonbon.
Sentant l’orgasme venir et ne voulant pour rien au monde jouir debout, j’ai pris sa tete entre mes mains et me suis assise lentement l’obligeant de suivre ma chatte avec sa langue qui semblait
avoir sa vie propre.
En tripotant mon clito comme une vraie bête du sexe, elle m’a permis de monter au septième ciel transportée par une rafale de secousses très violentes.
Après ce léchage, Jackie est resté en silence, comme surprise par ma transformation…
La situation avec Jackie est devenue insoutenable. Je ne peux pas résister à sa proximité physique sans craquer. Je ne sais pas quel gène sa présence a-t-elle fini par activer mais c’est comme
ça.
Dans un mois je vais quitter le foyer pour habiter chez ma famille d’accueil et je ne la verrais plus, c’est ce que je me suis proposée car cette fille va me faire perdre la tête.
Elle est trop mimi, trop irrésistible pour l’ignorer et toujours prête à des câlins ou à des caresses coquines! Je ne peux pas me permettre cette ambiguïté, il faut que je me décide ou les filles
ou les mecs et je n’ai jamais vraiment aimé les filles jusqu’à présent.
Quoi qu’il en soit cette histoire de fantasmes et d’expériences lesbiennes arrive trop tot pour moi, je ne sais pas quoi faire.
Hier, Jackie a fait une nouvelle incursion dans mon lit et cette fois-ci dans la vie réelle, ce n’était pas un fantasme. La différence était qu’elle n’a pas tourné autour du pot.
Elle est rentrée, est allée se doucher et puis en revenant de sa douche a commencé à plaisanter sur l’idée d’aller sous mes draps plus chauds que les siens car réchauffés par mon corps.
Connaissant Jackie ce qui aurait pu passer pour une plaisanterie normale était une déclaration directe, elle avait envie de moi.
Sans savoir comment réagir (je n’ai pas encore appris à réagir face à ce genre de propositions) j’ai attendu jusqu’à ce qu’elle se décide à faire le premier pas, comme d’habitude.
Mais cette fois-ci c’était différent car j’avais tellement fantasmé sur ça que mon corps me réclamait une attitude plus active et débrouillarde et mes mains perdaient déjà le contrôle à la
troisième ou quatrième caresse de sa part.
Jackie n’avait pas trop de fougue car sa journée avait été bien remplie comme d’habitude et je suis passée à l’action. Je voulais l’avoir derrière moi, et cela m’arrive avec les mecs aussi,
j’adore par derrière ou bien moi dessous.
J’étais allongée sur mon ventre et Jackie sur moi, comme un manteau, sans laisser tomber tout le poids de son corps sur le mien, elle allait et venait frottant son minou contre mes fesses que
j’essayais de durcir pour l’exciter.
Je n’avais plus honte de ce qu’on faisait ensemble et commençais à comprendre tout cela. Tout cela ne signifiait rien du tout, c’était du sexe pour le sexe, c’était comme ça qu’il fallait le
prendre.
À partir de cette révélation tout a changé. J’ai fait demi tour pour l’avoir face à face et qu’on puisse se frotter les sexes l’une à l’autre.
Mon pubis n’étant pas complètement épilé j’avais un pêle-mêle de poils et de mouille qui l’aidait à glisser sa vulve rasée comme un patineur sur de la glace.
Les gémissements de Jackie, visiblement excitée par ma nouvelle attitude, active et coquine, m’excitaient davantage. Toutes trempées de fluides nos sexes glissaient l’un contre l’autre et parfois
ses lèvres gonflées venaient à limer l’entrée de mon vagin m’arrachant de petits cris.
J’étais vraiment impatience de la voir jouir comme ça, sous l’effet de mes caresses, mais je ne voulais pas que ça finisse aussi vite que ça.
Après ce limage de minou qui me laissait déjà à bout de souffle, je l’ai priée de rester comme ça, à quatre pattes et me suis mise debout. Je n’ai pas eu besoin de lui dire ce qu’elle devait
faire, sa bouche cherchant instinctivement mon entrejambe…
Les cuisses écartées le plus que je pouvais, j’endurais ses coup de langue profonds, lents, calculés pour me faire frissonner, elle sait s’y mettre la cochonne, je me demande combien de chattes
a-t-elle léchées de la sorte, suçant les clitos comme un bonbon.
Sentant l’orgasme venir et ne voulant pour rien au monde jouir debout, j’ai pris sa tete entre mes mains et me suis assise lentement l’obligeant de suivre ma chatte avec sa langue qui semblait
avoir sa vie propre.
En tripotant mon clito comme une vraie bête du sexe, elle m’a permis de monter au septième ciel transportée par une rafale de secousses très violentes.
Après ce léchage, Jackie est resté en silence, comme surprise par ma transformation…
La situation avec Jackie est devenue insoutenable. Je ne peux pas résister à sa proximité physique sans craquer. Je ne sais pas quel gène sa présence a-t-elle fini par activer mais c’est comme
ça.
Dans un mois je vais quitter le foyer pour habiter chez ma famille d’accueil et je ne la verrais plus, c’est ce que je me suis proposée car cette fille va me faire perdre la tête.
Elle est trop mimi, trop irrésistible pour l’ignorer et toujours prête à des câlins ou à des caresses coquines! Je ne peux pas me permettre cette ambiguïté, il faut que je me décide ou les filles
ou les mecs et je n’ai jamais vraiment aimé les filles jusqu’à présent.
Quoi qu’il en soit cette histoire de fantasmes et d’expériences lesbiennes arrive trop tot pour moi, je ne sais pas quoi faire.
Hier, Jackie a fait une nouvelle incursion dans mon lit et cette fois-ci dans la vie réelle, ce n’était pas un fantasme. La différence était qu’elle n’a pas tourné autour du pot.
Elle est rentrée, est allée se doucher et puis en revenant de sa douche a commencé à plaisanter sur l’idée d’aller sous mes draps plus chauds que les siens car réchauffés par mon corps.
Connaissant Jackie ce qui aurait pu passer pour une plaisanterie normale était une déclaration directe, elle avait envie de moi.
Sans savoir comment réagir (je n’ai pas encore appris à réagir face à ce genre de propositions) j’ai attendu jusqu’à ce qu’elle se décide à faire le premier pas, comme d’habitude.
Mais cette fois-ci c’était différent car j’avais tellement fantasmé sur ça que mon corps me réclamait une attitude plus active et débrouillarde et mes mains perdaient déjà le contrôle à la
troisième ou quatrième caresse de sa part.
Jackie n’avait pas trop de fougue car sa journée avait été bien remplie comme d’habitude et je suis passée à l’action. Je voulais l’avoir derrière moi, et cela m’arrive avec les mecs aussi,
j’adore par derrière ou bien moi dessous.
J’étais allongée sur mon ventre et Jackie sur moi, comme un manteau, sans laisser tomber tout le poids de son corps sur le mien, elle allait et venait frottant son minou contre mes fesses que
j’essayais de durcir pour l’exciter.
Je n’avais plus honte de ce qu’on faisait ensemble et commençais à comprendre tout cela. Tout cela ne signifiait rien du tout, c’était du sexe pour le sexe, c’était comme ça qu’il fallait le
prendre.
À partir de cette révélation tout a changé. J’ai fait demi tour pour l’avoir face à face et qu’on puisse se frotter les sexes l’une à l’autre.
Mon pubis n’étant pas complètement épilé j’avais un pêle-mêle de poils et de mouille qui l’aidait à glisser sa vulve rasée comme un patineur sur de la glace.
Les gémissements de Jackie, visiblement excitée par ma nouvelle attitude, active et coquine, m’excitaient davantage. Toutes trempées de fluides nos sexes glissaient l’un contre l’autre et parfois
ses lèvres gonflées venaient à limer l’entrée de mon vagin m’arrachant de petits cris.
J’étais vraiment impatience de la voir jouir comme ça, sous l’effet de mes caresses, mais je ne voulais pas que ça finisse aussi vite que ça.
Après ce limage de minou qui me laissait déjà à bout de souffle, je l’ai priée de rester comme ça, à quatre pattes et me suis mise debout. Je n’ai pas eu besoin de lui dire ce qu’elle devait
faire, sa bouche cherchant instinctivement mon entrejambe…
Les cuisses écartées le plus que je pouvais, j’endurais ses coup de langue profonds, lents, calculés pour me faire frissonner, elle sait s’y mettre la cochonne, je me demande combien de chattes
a-t-elle léchées de la sorte, suçant les clitos comme un bonbon.
Sentant l’orgasme venir et ne voulant pour rien au monde jouir debout, j’ai pris sa tete entre mes mains et me suis assise lentement l’obligeant de suivre ma chatte avec sa langue qui semblait
avoir sa vie propre.
En tripotant mon clito comme une vraie bête du sexe, elle m’a permis de monter au septième ciel transportée par une rafale de secousses très violentes.
Après ce léchage, Jackie est resté en silence, comme surprise par ma transformation
Le jour se lève et moi avec lui, car j’ai des démarches à faire au centre-ville. Jackie dort et ses ronflements résonnent dans notre petite chambre et m’aident à me réveiller.
Je suis très fatiguée car je suis restée jusqu’à très tard hier soir, en train de parler avec ma famille sur skype. Pour eux il fait nuit maintenant.
J’ouvre le robinet d’eau chaude et la vapeur envahit les toilettes. Je ferme la porte pour que cette vapeur chaude et relaxante s’accumule dans la salle.
Déjà sous la douche je profite pour m’épiler les jambes que j’ai enduites de crème de rasage masculine car je n’ai trouvé nulle part celle que j’utilisais en France.
Soudain un coup de vent frais me fait frisonner et j’entends la porte s’ouvrir et se refermer après comme la foudre.
-Jackie! Please close the door! En fait la porte est déjà fermée mais je réagis avec quelques secondes de retard sous l’effet de la surprise.
-Ok I’m here… Je l’entends s’asseoir sur le wc et pisser sans aucune honte. Même après avoir entretenu des rapports sexuels j’aurai eu honte de pisser devant ma partenaire, je suis comme
ça, mais cette dévergondée semble ne pas connaitre le mot ”limite”.
Maintenant c’est le tour du savon et je le passe sur tout mon corps, inventant des trucs à faire pour ne pas avoir à fermer le robinet et me sécher, je n’ai jamais pu me doucher rapidement au
petit matin, car la douche est tellement relaxante!!
Tout à coup quelqu’un pousse les rideaux de la douche et je réagis en cachant mes parties génitales avec les mains. Jackie se met à rire aux éclats. Oui je sais quelle idiotie.
Je lui jette de l’eau dessus pour protester contre cette invasion à mon espace privé mais elle se met sous la douche en petite culotte et t-shirt!
Je ne sais pas quoi faire, toujours intimidée par sa présence et par sa personnalité à tout s’attendre. Elle me prend par la taille et sa bouche ne tarde pas à toucher la mienne pour m’embrasser.
Le baiser est très long est délicieux, sa bouche sentant la menthe du dentifrice, et je réalise qu’elle s’était déjà réveillée lorsque je me suis enfermée aux toilettes.
Sa bouche coquine ne se contente pas de rester sur mes lèvres et cherche mon cou et mes seins. Elle tripote mes nichons avec sa langue et puis mord les tétons, tout raides par l’excitation.
J’en suis aux anges pendant que Jackie s’y met, en prenant mes seins comme si c’était des hamburgers géants qu’elle veut dévorer poussée par une faim incroyable.
Cela m’excite aussi mais je reste à la traine des caresses, ce matin elle l’emporte largement. Comme d’habitude elle se fout de mon excitation et me prend comme une poupée gonflable, me fait
faire demi tour et, s’asseyant sur le rebord opposé de la douche, écarte mes fesses pour lécher mon anus.
C’est la première fois que quelqu’un lèche mon petit trou et c’est vraiment très jouissif comme expérience.
Elle commence par ouvrir mes fesses pour mettre l’anus au découvert et puis glisse sa langue en percutant le sphincter comme un pic vert, toc, toc, toc, jusqu’à ce que le truc cède, s’ouvrant et
lui permettant de lécher plus en profondeur.
Je lui permets tout ça parce qu’elle m’excite, je ne suis pas sure que ce serait le cas pour un garçon car il voudrait sans doute me sodomiser après le léchage et ça, je ne suis pas prête du
tout!
Un doigt d’accord ça passe mais une bite, pas question! Jackie joue avec ses doigts mais reste à l’extérieur de mon cul, tout en le tapotant comme si elle cherchait la permission d’y glisser ses
doigts.
Sous l’effet de ces attouchements sexy, je me laisse faire sans pour autant lui permettre de me doigter l’anus. Ma partenaire finit par le comprendre et, sans lâcher prise avec sa langue sa main
cherche un autre trou pour s’amuser, et ses doigts abordent ma foune par derrière déjà toute trempée de cyprine.
Dommage qu’elle n’ait pas de pénis parce que c’est ce qu’il me faut en ce moment, une grosse bite qui m’enfourche par derrière comme une brochette de chair et d’os…ouf je suis trop chaude là et
Jackie le sait, la cochonne.
Elle me lime le vagin avec des va-et-vient très puissants qui me font frissonner. Mes secousses sont très jouissives mais mortelles et à chaque fois que je frémis, mon corps me fait signe de ne
plus pouvoir supporter cette attaque délicieuse mais impitoyable et tenace.
Je n’ai qu’une façon de l’obliger à stopper le doigtage, atteindre l’orgasme et j’y vais, exagérant encore plus les spasmes pour qu’elle se félicite de son travail manuel sur mes génitaux.
Vous avez un talent pour écrire des histoires coquines et vous souhaitez les partager avec le plus grand nombre? Envoyez-les moi à l’adresse suivante : natacha.charme@gmail.com et je les
publierai avec plaisir!